Nouvelle extraite du recueil "Dorian Evergreen" disponible version papier
http://www.thebookedition.com/fr/dorian-evergreen-p-16900.html
version ebook
Nouvelle extraite du recueil "Dorian Evergreen" disponible version papier
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Toujours et Jamais étaient toujours ensemble
Ne se quittaient jamais
On les rencontrait
Dans toutes les foires
On les voyait le soir traverser le village
Sur un tandem
Toujours guidait
Jamais pédalait
C’est du moins ce qu’on supposait
Ils avaient tous les deux une jolie casquette
L’une était noire à carreaux blancs
L’autre blanche à carreaux noirs
À cela on aurait pu les reconnaître
Mais ils passaient toujours le soir
Et avec la vitesse
Certains les soupçonnaient
Non sans raison peut-être
D’échanger certains soirs leurs casquettes
Une autre particularité
Aurait dû les distinguer
L’un disait toujours bonjour
L’autre toujours bonsoir
Mais on ne sut jamais
Si c’était Toujours qui disait bonjour
Ou Jamais qui disait bonsoir
Car entre eux ils s’appelaient toujours
Monsieur Albert, Monsieur Octave.
(Paul Vincensini)
« Le stupide est un sot qui ne parle point, en cela plus supportable que le sot qui parle. »
(La Bruyère)
« La stupidité était aussi nécessaire que l’intelligence. »
(George Orwell »
« Le style est l’homme même. »
(Buffon)
« Le style est comme le cristal ; sa pureté fait son éclat. »
(Victor Hugo)
« Celui qui subit n’aime pas. »
(Proverbe suisse)
Ayant poussé la porte étroite qui chancelle,
Je me suis promené dans le petit jardin
Qu’éclairait doucement le soleil du matin,
Pailletant chaque fleur d’une humide étincelle.
Rien n’a changé. J’ai tout revu : l’humble tonnelle
De vigne folle avec les chaises de rotin…
Le jet d’eau fait toujours son murmure argentin
Et le vieux tremble sa plainte sempiternelle.
Les roses comme avant palpitent ; comme avant,
Les grands lys orgueilleux se balancent au vent,
Chaque alouette qui va et vient m’est connue.
Même j’ai retrouvé debout la Velléda,
Dont le plâtre s’écaille au bout de l’avenue,
— Grêle, parmi l’odeur fade du réséda.
(Paul Verlaine)
(Bernard Grasset)
« Tout homme qui est un peu spécialiste est, dans le sens strict du mot, un idiot. »
(George-Bernard Shaw)
« Pour moi, le sport me permet de me sentir bien dans ma peau. Il aide à accepter l’échec comme une expérience utile à la réussite. Il impose la discipline et la maîtrise de soi. Il entraine l’éducation de la volonté. Et, plus merveilleux encore, il donne la confiance en soi. »
(Philippe de Dieuleveult)
« On vise à standardiser les pratiques pour rendre les gens interchangeables. Il ne faut pas faire moins que ce qui est attendu, mais il ne faut pas en faire plus. »
(Alain Deneault)
« Il y a trois sortes de mensonges : les mensonges, les maudits mensonges et les statistiques. »
(B. Disraëli)
« Je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même falsifiées. »
« Les statistiques c’est comme les bikinis : ça donne des idées mais ça cache l’essentiel. »
Delbert McClinton, né le à Lubbock, Texas, est un auteur-compositeur-interprète et multi-instrumentiste (guitariste, pianiste et harmoniciste) américain de blues et americana.
Actif depuis 1962 et comme leader d'un groupe depuis 1972, il a enregistré plusieurs albums de labels majeurs, et signé des singles dans le Billboard Hot 100, Mainstream Rock Tracks, et Hot Country Songs charts. Il a remporté deux Grammy Award du meilleur album de blues contemporain pour ses albums Nothing Personal (en) (2001) et The Cost of Living (2006)
Nouvelle extraite du recueil "Dorian Evergreen" disponible version papier
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Ce toit tranquille, où marchent des colombes,
Entre les pins palpite, entre les tombes ;
Midi le juste y compose de feux
La mer, la mer, toujours recommencée !
Ô récompense après une pensée
Qu’un long regard sur le calme des dieux !
Quel pur travail de fins éclairs consume
Maint diamant d’imperceptible écume,
Et quelle paix semble se concevoir !
Quand sur l’abîme un soleil se repose,
Ouvrages purs d’une éternelle cause,
Le temps scintille et le songe est savoir.
Stable trésor, temple simple à Minerve,
Masse de calme et visible réserve,
Eau sourcilleuse, œil qui garde en toi
Tant de sommeil sous un voile de flamme,
Ô mon silence !… Édifice dans l’âme,
Mais comble d’or aux mille tuiles, toit !
Temple du temps, qu’un seul soupir résume,
À ce point pur je monte et m’accoutume,
Tout entouré de mon regard marin;
Et comme aux dieux mon offrande suprême,
La scintillation sereine sème
Sur l’altitude un dédain souverain.(…)
(Paul Valéry)
« Sous estimer son adversaire, voilà le pire. La victoire revient au camp qui sait pâtir. »
(Tao Te King)
« Les femmes ne se souviennent guère que des hommes qui les ont fait rire et les hommes que des femmes qui les ont fait pleurer. »
(Henri de Régnier)
« Ce n’est pas être souverain que d’élire de temps en temps quelques représentants. »
(Robespierre)
« Sparte resta libre et indépendante tant qu’elle fut pauvre. »
(Jean-Paul Marat)
Ouvrage disponible version papier
http://www.thebookedition.com/fr/les-faux-as-p-43273.html
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The Del-Vikings, également connu sous le nom de The Dell-Vikings, sont un groupe américain de doo-wop originaire de Pittsburgh qui a connu le succès dans les années 1950. Depuis la création du groupe en 1955, différents membres en ont fait partie au fil des décennies suivantes. L'un des plus connus est Gus Backus. Il a notamment compté un autre membre Chuck Jackson, de 1957 à 1959, qui aura par la suite entammé une brillante carrière solo et sera l'un des pioniers du rhythm and blues.
Le groupe est connu pour être l'un des rares groupes de musique mêlant blancs et noirs qui a eu du succès dans les années 1950.
Les tubes du groupe sont utilisés dans de nombreux films comme American Graffiti (1973), American Hot Wax (1978), The Hollywood Knights (1980), Diner (1982), Stand by Me (1986) ou encore Joe contre le volcan (1990).