Le facteur
Il s’en vient,
d’un pas régulier,
Tout seul traînant
ses gros souliers.
Il s’en vient par
la route claire,
Ses souliers sont
blancs de poussière.
Par les sentiers
sur le gazon,
Il disparaît dans
les maisons.
Il porte (sait-il
ce qu’il porte ?)
Les nouvelles de
porte en porte.
Il a grand chaud,
c’est un bon vieux…
Le soleil lui fait
mal aux yeux.
Et vidant son sac à
mystères,
Il s’en va sur la
route claire…
(Henry Spiess)
Le facteur
Il s’en vient,
d’un pas régulier,
Tout seul traînant
ses gros souliers.
Il s’en vient par
la route claire,
Ses souliers sont
blancs de poussière.
Par les sentiers
sur le gazon,
Il disparaît dans
les maisons.
Il porte (sait-il
ce qu’il porte ?)
Les nouvelles de
porte en porte.
Il a grand chaud,
c’est un bon vieux…
Le soleil lui fait
mal aux yeux.
Et vidant son sac à
mystères,
Il s’en va sur la
route claire…
(Henry Spiess)
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